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LE PRION, LES FARINES ANIMALES ET L'ENVIRONNEMENT | |||||
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L'environnement. 3. Les articles scientifiques Peu
de scientifiques ont étudié l'effet du prion sur l'environnement.
Mais leur résultats donnent à réfléchir :
4. Aujourd'hui et Demain La persistance dans l'environnement de l'agent pathogène n'a pas été formellement établie à ce jour. Toutes fois, le fait d'entreposer en plein air ou sur un sol non protégé ou si près d'un cours d'eau a pu peut être infecter une partie de la faune sauvage (oiseaux, renards, ...), de la flore, des eaux souterraines, des ruisseaux et leurs faunes ? Aujourd'hui les tests du marché (Prionics, Enfer et Biorad) ne détectent le prion que chez des animaux morts et en phase finale de la maladie. A quand la détection chez l'homme ? Peut être la biologie moléculaire pourra, grâce à l'étude de certains gènes (comme celui mis en évidence par Michael Clinton en Mars 2001), détecter les phases silencieuses de la maladie. Il
faudrait peut être aussi penser à d'autres méthodes
pour "détruire le prion" des farines animales comme la
thermolyse qui est un traitement thermique des déchets en absence
d'air qui permet une dissociation thermique des molécules organiques
et non d'une combustion. C'est un prétraitement des déchets
propres et économique. Une société américaine
vient aussi d'annoncer une méthode pour détruire à
100% le prion : Scientific Utilization peut détruire complètement
l'agent de la vache folle. |